♥ Vous souvenez-vous de votre premier choc esthétique?
La jeune fille à la perle Johannes Vermeer.

♥ L’artiste que vous souhaiteriez rencontrer? Que lui diriez-vous?
Niki de Saint Phalle pour que l’on crée une “Nana” ensemble! 

♥ Quelle est votre couleur préférée? que vous inspire-t elle?
Bleu nuit. Elle m’inspire la sérénité, l’équilibre, le mystère…

♥ Quel musée vous procure la plus grande émotion? Pourquoi?
Sans hésiter le Musée d’Orsay pour la beauté de ce lieu chargé d’histoire sans oublier sa magnifique collection de tableaux impressionnistes.

♥ Quelle oeuvre d’art achèteriez-vous sans hésitation si vous aviez un budget illimité?
Ce n’est pas une question facile, il y en aurait tellement. Je dirais “Le baiser” de Klimt.

♥ Dans quelle ville vous sentez-vous le plus heureux? Pourquoi? Partagez vos 3 adresses coups de coeur.
Paris, ma ville de mon coeur pour son architecture, ses musées, ses jardins, ses lieux secrets.
Mes 3 adresses coups de coeur :
-Holybelly, car chez eux le petit déjeuner est une religion 
-Plaq chocolat, pour leur philosophie “bean to bar”
-Ailleurs, où je vais chiner des pièces décos uniques

♥ Quel livre vous garde éveillé toute la nuit? 
“Réparer les vivants” de Maylis de Kerangal. L’histoire d’une transplantation cardiaque où le coeur au delà de sa fonction organique, demeure le siège des affects et le symbole de l’amour.

♥ Quelles sont vos plus grandes sources d’inspirations?
Les entrepreneurs pour leur courage d’oser, leur résilience, leur créativité, leur capacité à faire les choses différemment. Nathalie Balla (La Redoute), Mercedes Erra (Havas), Aurélie Bidermann, Jeanne Damas (Rouje Paris) pour n’en citer que quelques uns… Ma soeur Caroline pour sa générosité inconditionnelle et sa volonté profonde de répandre l’amour autour d’elle. 

♥ Qu’avez-vous fait de plus funky dans votre vie?
L’ascension du mont Fuji de nuit! 

♥ Quelle est votre définition du bonheur?
“Le vrai bonheur ne cherche pas à l’extérieur ses éléments: c’est en nous que nous le cultivons; c’est de lui même qu’il sort tout entier. On tombe à la merci de la Fortune, dès qu’on cherche au dehors quelque part de soi”. Sénèque